La fille aux milles et un tours: Leila Smith.

Nom : Leila Smith
Âge : 20
Sexe : Féminin
Royaume : Karu
Classe : Archère (?) (Archère!)

Description physique (minimum 2 lignes) : Elle a un jolie minois, bien que féminin bien entendue. Elle a les lèvres rouges sang, sa lèvre supérieure est plus épaisse que sa lèvre inférieure, un long nez retroussé. Elle n’a aucun bronzage, et aucune tache de rousseur. Elle est des longues oreilles pour un elfe. Elle a une épaisse chevelure rousse avec de nombreuses mèches noires dont elle coiffe bizarrement et dont seule elle sait faire. Bien qu’ils sont attachés bizarrement, elle laisse sa longue franche détachée à droite aussi, elle laisse quelques tresses hors de son étrange coiffure sur son coté gauche. En arrière, sa chevelure fait comme la crinière d’un lion en un rond irrégulier. Son habit n’est pas fait de métal, puisqu’elle n’est pas souvent devant les méchants, sur son collet, les étranges symbole signifient : Bénédiction et Protection à l’Empereur. Son habit est très moulant et lui va comme un gant.

Description psychologique: Elle est peut-être dans le clan des gentils, mais elle est aussi cruelle que les guerriers du royaume Karayami (Plus que TDL?). Elle est légèrement sadique et n’a pas peur de se salir la main. Même si elle n’est qu’archère, elle sait très bien manier l’épée que son arc ou des dagues. Elle n’est pas très stratégique, mais très habile, un grand avantage quand on n’a pas d’armure. Elle est impulsive et elle a de très bons réflexes, il ne fait pas la chercher, c’est une vraie rousse, elle a un grand tempérament et est très têtue. Elle est très féministe. Et souhaite bien montrer à sa Royauté qu’une fille peut être une bonne affaire dans une armée.

Histoire : Son père est forgeron, mais pourtant, c’est sa mère qui l’entraîna. Elle lui montra à tirer à l’arc tandis que son père voulant être sur que sa fille se débrouillerait, il lui apprit à manier épée et dagues correctement. Courte histoire j’en conviens, mais bon, sa vie à toujours été normale, son père subvenait à leurs besoins grâce à son travail qui lui demandait tout son temps pendant le jour et quelque fois même, quelques nuits.

Approuvé.