Une conséquence bien mérité

Après sa tentative de vol manqué, kal se fit envoyer au cachot. Il tournait en rond dans sa cellule. Il s'arrêta pour regarder de quoi avait l'air la cellule. Il y avait du foin un peu partout mélanger avec quelque os, un bloc de ciment dans le coin qui servait surement de lit et une petite ouverture en guise de fenêtre avec de jolis barreaux pour leur empêcher le passage. Tout en se demandent comment sortir de la, il lança les os par la fenêtre entre les barreaux. Soudain, il eu une idée. Il se plaça devant la porte de la cellule et passa ses bras entre les barreaux en appelant les gardes.

-Garde ! S'il vous plait, y a t'il quelqu'un ? Hé ho ! Vous ne faite jamais le ménage ici !?

Le temps passait, et personne ne venait. Il décida donc d'abandonner, puis il décida alors de se préparer un plan pour s’échapper. Qui voudrait rester ici de toute façon?

J'errais dans le coin, regardant les criminels, ça et là. Je passai devant la cellule de Kal. Il avait fait une tentative de vol dans le château. Mon père avait l'intention de le laisser croupir en prison pour le restant de ses jours. Un bien triste raisonnement. Je n'étais pas de son avis.

-Je suis prêt a te laisser une chance, que mon père le veuille ou non.

Kal sortit de sa rêverie en sursaut puis s'approcha des barreau avec méfiance.

-Vraiment ? Je ne risque pas de me faire prendre en sortant d'ici ?

Il regarda un peu plus loin dans le couloir pour vérifier qu'il n'y ai personne d'autre.

-En me sortant d'ici, tu m'aidera à retrouver mon épée ?

Il reposa son regard sur l'homme devant lui.

-Heu, si tu me sort d'ici, tu n'a pas peur de recevoir une conséquence, ou un truc du genre ?

Kal recula dans la cellule puis s’assit.

-Enfin, il faut que quelqu'un nettoie ici! Et ce n'ai pas une façon de traiter des visiteur.

-Non, tu ne risques pas.

Il me demanda si je l'aideraisa trouver son épée.

-JE sais ou elle est.

Il me demanda si j'avais peur de recevoir une conséquence.

-Mon père n'enverrais jamais des gens a ma poursuite car j'ai libéré quelqu'un.

Il alla se rasseoir et se plaigint de l'état de sa cellule.

-C'est ainsi que le roi traite les prisonniers, je n'y peut rien. Mais, en te fesant sortir d'ici, tu n'auras pas a endurer l'état de ta cellule plus longtemps.

Kal se releva avec un crane dans les mains et le montra à l'homme devant lui.

-C'est mon nouvel ami, je peux l'emmener ?

Il rit pendant quelque minutes avant de reprendre son sérieux.

-Si tu compte m'ouvrir, n'attend pas des heures ! Je n'ai pas de temps à perdre dans cette cellule ! Ha oui, si tu veux que je fasse quelque chose pour toi, n’hésite pas à m'appeler. Du moins, dès que je serais sorti d'ici.

Il ramassa sa cape qui traînait dans le foin.

Je ris aussi a sa blague et ouvri la cellule.

-D'accord. Je me débrouillerai pour te contacter.

Je lui lançai son épée.

-Allez, il vaut mieux que tu te dépêches avant que quelqu'un ne se rende compte de quoi que ce soit. J'ai dit que personne ne me poursuiverai, mais, rien n'est garanti pour toi.

Kal attrapa son épée et partit au pas de course.

-Merci !

Il traversa une porte au fond du couloir dans laquelle il y avait un bureau surmonté de quelques millier de papiers. Il en regarda quelques un et vit un homme endormi. Il décida alors de ressortir de cette pièce et revint vers celui qui l'avait sortie.

-Heu, c'est par où la sortie ?

-Si tu veut passer innaperçut, passe par ici.

J'enlevai une planche de bois qui cachait une espèce de petite grotte menant vers la frontière.

-Ce passage souterrain te mènnera loin d'ici. Je m'en servais quand j'étais petit. Je crois que tu arriveras y entrer. sans problème. Allez, va.

Je descend dans mon repère, ajustant ma cape pour être sûre de cacher le haut de mon armure, assez féminine... Et en replacant mon capuchon pour être sur que mes cheveux ne s'échappe d'aucune part de mon casque ou de ma capuche rouge. Je prends ma voix d'Eadwin arriver au cachot sachant la présence du paladin et des prisonniers:

-Kal à une permission de votre père, Majesté? Et oui, j'ai l'ouïe fine.

Je regarde leur visage entre petites barres de mon casque. Je l'abaisse pour qu'on ne voit que mes yeux avec une étincelle d'amusement essayant de discerner les réactions du paladin et de Kal.

(Hors R-p: Désolée, c'est mon premier poste, je promets de m'ajuster pour la longueur des postes... Je trouve que c'est petit.)

(C'est pas grave.)

Je regardai Eadwin en pensant. Toujours dans mes jambes celui-là... J'en ai marre.

-Non, et je ne vois pas pourquoi il en aurait besoin, si je dit qu'il est libre. J'ai décidé qu'il a droit a une autre chance, et, il en sera ainsi, que cela plaise a mon père ou non.

Je me retournai vers Kal.

-Vas-y, je m'occupe du reste.

-merci, tu m'aide beaucoup.

Kal entra dans le tunnel sombre et humide puis avança jusqu’à se cogner sur le plafond.

-Il ne m'avait pas dit que le tunnel rapetissait plus loin.

Il se baissa et continua d'avancer jusqu'à voir la lumière. Plus il se rapprochait de l'ouverture et plus il entendait des voie. Kal s’arrêta avant la sortie. Il y avait deux garde qui parlai a coter de l'ouverture. Il prit une pierre et la lança derrière des buisson. Les deux garde allèrent vérifier qu'il n'y avait personne. Pendant que les garde s'en allèrent kal courut jusque dans la foret.

-Tu ne veux tout de même pas te battre avec moi, se sont tes décisions, mais après, c'est moi qu'on va accuser à tort de l'avoir laisser sortir.

Je regardais encore Sutekina, ne regardant même plus Kal. Mon regard n'était plus si amusé, j'étais lègérement contrarié, l'incroyable Eadwin se fait avoir dupé.

-D'accord, s'il s'en va, j'y vais avant, au moins je ne serais pas accusé à tort. Vous verez ce que vous voudrez Majesté, mais moi, je n'y suis pour rien. Au revoir on se revoit.

Je continue plus loin je regarde Rainon, un prisonnier quelconque, je me penche vers lui. Lui tends un sac entre les barreaux, je murmure à Rainon:

-C'est l'herboriste qui m'a dit que ça soulagerait votre infection à la gorge.

Je regarde de nouveau le paladin avec un regard complice:

-Ça sera nos petits secrets.

Je me dépêche à sortir par le bureau sans bruit pour ne réveiller personne.