Réveil Brutal, Ennui Mortel

La grand chambre de la Princesse contenait un grand lit baldaquin avec plusieurs voiles tombant sur le côté du lit d'une couleur rouge fonçé à rouge-rose. Il y avait de grand cadre de paysage ou de portrait, deux immenses fenêtre donnée sur un paysage caché par de grands rideaux acajous foncé, une grande bibliothèque contenant des centaines de livres déjà lus, un bureau sur lequel trônait livres nouveaux ainsi que document royaux, coiffeuse magnifique en bois pâle rangeant tout ses trésors, plusieurs banc où s'asseoir et trois portes. Une donnant sur le couloir extérieur, une autre donnant sur l'immense salle de bain d'un blanc immaculé et la dernière à la pièce qui lui servait de garde robe, preque aussi grande que sa chambre et gardant robes, couronnes, bijoux, souliers, tenue de bal, tenue pour l'équitation, et beaucoup d'autres.

Sayu était confortablement coucher au milieu de ses dizaines de grandes oreilles et dormait paisiblement. Un rêve doux, qui ne te donne pas le goût de te réveiller, mais un affreux bruit la fit sursauter. Elle ouvrit ses grands yeux bleus et regarda autour en s'assoyant lentement dans son lit. Ses rideaux étaient toujours fermés et aucune domestique en vue. Pourquoi était-elle alors réveiller? En furie, elle tassa son épaisse couverture dispendieuse et mit un pied froid par terre avant de laisser un petit cri aigu et plaintif sortir de ses lèves. Le sol était si froid... Elle trouva ses souliers pour le matin, confortable et doux et se leva avec fureur, toujours. Elle passa sa robe de chambre rougeâtre par dessus sa chemise de nuit légerté bleu et marcha d'un pas décidée et frustrée de devoir le faire elle-même vers la fenêtre. Elle ouvrit le rideau, ce qui innonda la pièce de lumière et la princesse grogna. Elle regarda l'extérieur et vit un énorme bête. La voilà, la cause de son réveil brutal.

Au même moment, une domestique rentra dans la salle. En la voyant debout, elle se pencha extrémement bas.

- Oh! Ma dame! J'ignorais que vous étiez debout à cet heure. Pardonnez-moi. Je fais venir votre petit déjeuner tout de suite.

- Filicia, en même temps, trouve à qui appartient cette bête. Je veux le voir à la salle du trône avant le dîner. J'ai quelque mot à lui dire. Fit Sayu.

- Bien, princesse.

- Maintenant, disposez.

La dame sortit et Sayu alla s'asseoir à son bureau en attendant le déjeuner. Elle soupira. Elle s'ennuyait déjà. Quelle belle journée... En mangeant son repas, Sayu décida d'organiser à nouveau un tournoi pour le surlendemain. Elle devrait s'arranger pour que tout le monde ait le message. Entre temps, elle choisit une robe bleu et noir et laissa Filicia, sa domestique, lui enfiler avec l'aide d'un autre domestique. Une fois le tout fini, Sayu ouvrit la porte fenêtre et alla s'asseoir sur son grand balcon, regardant le paysage. Pour une fois qu'elle pouvait en profiter.

Kelly était partie demander audience au roi Simon II, quand a moi, l'on m'avait demandé a la salle du throne le plus vite possible. Mais, je me dit que je devrais autant régler cela maintenant. J'étais devant la porte de la Cousine de Sutekina, et je toquai la porte.(Cousine en quelques sortes, mais bon, c'est assez compliqué cette hiérarchie, non?)

(Oui, Il faut avouer, assez Compliquer, mais ça va. Un de ses jours, Je vais aller rendre visiter à mon Cousin. Hé Hé!)

Au loin, les montagnes se dressait, dessina une pâle silhouette dans la brume matinal. La forêt à ses pieds s'étendait sur une bonne partie du royaume. Du côté du balcon de la Princesse, on y voyait que les spacieux jardins royaux, la forêt et les montagnes haute et lointaine. Sayu se tanna vite fait de se décor sans vie. Rien ne s'y passait. C'était aussi ennuyant que les peintures qui décorait sa chambre. Jamais elle n'avait prit le temps de vraiment les regarder. Ayant un peu froid, malgré les manches longues de sa magnifique robe qu'elle portait sans occasion. Elle rentra et s'assit devant sa coiffeuse alors que Anna, son autre domestique, lui peignait les cheveux avec une brosse en argent. Elle complimentait la chevelure de sa Dame , mais Sayu n'en avait rien à faire et ne l'écoutait plus depuis un bon moment déjà. Elle regardait ses traits. Elle était tout de même reconnaissante d'avoir hérité de la beauté. Elle ouvrit un tiroir à sa droite et en sortit sa couleur pour les lèvres. Délicatement, ses lèvres prirent une teinte rouge étonnante et merveilleuse. Anna venait de finir d'attacher ses cheveux en une couette du style de la royauté. Sans la remercia, Sayu la chassa d'un geste de la main. La jeune femme se leva et parcourut sa chambre, s'ennuyant, avant de tomber sur un livre qu'elle n'avait jamais lu. Il parlait de magie. Sa magie. Elle sourit, un sourire en coin et mauvais. Avant qu'elle n'ait pu l'ouvrir à la première page, on cogna à la porte. Elle rangea le livre sous une pile de papier et se dirigea au centre de la pièce, les mains au devant de sa robe.

- Entrez. fut la seule chose qu'elle dit.

Un moment lui prit avant de reconnaître l'homme qui venait d'entrée. Comment s'appelait-il déjà? Elle marcha vers l'homme et le regarda, la tête haute.

- Parle, je t'écoute. Que fais-tu là?

Elle ne lui laissa pas le temps de répondre avant d'enchaîner. Sayu n'était pas du genre à attendre avant de dire quelque chose. Si elle l'avait en tête, c'était presque sur que ça se retrouvait entre ses lèvres. Elle ne voyait pas l'intérêt d'attendre pour parler alors qu'elle avait une classe plus haute que les autres. La seule personne vraiment capable de la faire taire était son père, mais seulement parce qu'il avait plus de pouvoir qu'elle. Souvent, la jeune princesse se demandait ce qu'aurait fait son père si Sayu était la première née. L'aurait-il laisser monter sur le trône ou l'aurait-il trouver trop égoïste. Elle ne s'occupait même pas du fait que le royaume perdait des guerriers et ne faisait pas très attention à la guerre. Mais bon, revenons à où nous en étions. Sayu enchaîna sans attendre:

- Tu dois avoir une bonne raison pour venir me déranger dans mes propres quartiers. Je t'écoute, mais fais vite. J'ai quelque chose à faire.

Elle se dirigea vers un banc ayant un coussin confortable et brun qui était installer juste derrière son lit baldaquin. Elle croisa les jambes et déposa ses mains sur ses genoux en écoutant l'homme.

(C'est si il survit a notre prof de Géo XD)
Je la regardai en resatant de marbre.
-Vous avez demandé a me voir, mais, je suis venu ici a la place d'aller vous attendre dans la salle du throne. Désolé si je vous dérange.
(Je dois compléter mon poste mais j'ai rien a écriiire! Alors, voila. Le moment tant attendu, TDL sans son casque XD. *Applaudissements* J'Ai l'image depuis le 10 août, donc, aucun rapport avec ton perso. M'enfin, hiérarchiquement parlant

Spoiler:

)
J'avais laissé mon casque au passage dans mes appartements, ce qui était assez rare. J'avais aussi laissé ma lourde armure chez le forgeron pour aborer une simple tunique en cuir et un jaseran.

(J'aime bien le Bonhomme ^^ Et Tu sais, pour faire des Gros Post, C'est pas dur. Fit Toi au Mien. Il faut Juste Décrire Ou Beaucuop PArler. Dépendant tu personnage. Et Puis, J'ai pas compris le rapport du Prof de Géo Dans tout ça... Et Tu comprendras que Je n'ai Aucunement l'envie de me relire)

Balançant doucement la jambe, sayu montrait qu'elle s'ennuyait devant cet homme de marbre. Elle n'arrivait pas à le cerner, mais le plus dommage était qu'il n'avait aucun réaction malgré sa beauté époustouflante. Il la fixait comme si elle était une de ses filles normales, mais justement, elle n'était pas parmis celles-là. Sayu était belle, presque parfaite, malgré son caractère assez difficile à vivre, elle restait la plu belle femme du royaume, en plus d'être la princesse du royaume. Ayant mille fois plus d'influence que les autres, mais il semblait s'en ficher éperdument. Cela mettait Sayu dans une colère noire que ses yeux reflètait sans problèmes. Elle avait envie de se lever et de balancer le banc sur lequel elle était par terre, de pousser tout ses papiers de son bureau, lancer ses livres sur les premiers venue. Elle voulait crier, insulter comme une beauté froide ayant perdu sa patience complète et étant au bord de la folie.

Cependant, elle resta calme, assise devant cet homme qui la regardait normalement. Elle ravala sa rage. Elle ne voulait pas paraître sans contrôle et surtout ne voulait pas le laisser voir qu'il l'énervait au plus haut point, qu'elle n'arrivait pas à supporter sa présence qui n'était aucunement éblouie par elle. Elle respira lentement en fermant les yeux pour garder le contrôle. Puis, elle ouvrit ses yeux charmeur en direction de l'autre. Elle se leva et se dirigea vers sa coiffeuse sans répondre. Elle prit le collier en or avec un médaillon qu'elle avait sortit un peu plus tôt et l'accrocha à son cou. Elle le regarda longuement et tout trace de rage quitta son corps. Elle se tourna vers l'homme.

- J'espère que tu es désolé. Mais Je te pardonnes. De cet façon, je vais être débarrasser tout de suite.

Elle s'approcha de la grande fenêtre et portant son regard vers la cours, puis vers le ciel, cherchant la bête l'ayant réveiller. Elle ne trouva de trace d'elle nulle part, mais savait que si elle en parlait, il saurait de quoi elle parle. Après tout, il n'y avait pas beaucoup de grosse bête volante dans le château. Elle avait détesté se faire réveiller de la sorte. Par le rugissement d'une bestiole n'ayant aucun charme, aucune beauté. Déjà qu'elle acceptait que cet... chose vienne dans l’enceinte du château, mais pas question de se faire déranger. Même si c'était une arme redoutable et forte pour les combats contre les autres royaume, elle n'en avait rien à faire. tout ce qui lui importait était son bonheur, son bien-être. Tout allait bien, si elle allait bien. Et ce n'était pas le cas de cette matinée. Son regard lâcha finalement le décors extérieur pour se porter sur le chevalier.

- Ce matin, je me suis fait réveiller par le rugissement de ta bête. D'accord, elle peut venir ici, mais qu'elle ne dérange personne, surtout pas les membres de la famille royale. C'est irrespectueux et offensant. J'espère qu'à l'avenir tu contrôlera mieux ton animal. Si jamais il me dérange une autre fois, je m'arrange pour que cette bestiole n'ait plus le droit d'entrer dans l'enceinte du château, sauf en moment de crise. C'est clair?

Étant plus haut placer que les autres, Sayu ne prenait pas la peine de vouvoyer les gens. Dans quel but? Les gens la vouvoyait elle. C'était bien suffisant. La jeune femme prépara mentalement ce qu'elle dirait à son père si un événement du genre se reprodusait, mais elle se rendit compte qu'elle ne connaissait pas le nom de l'homme. Avant qu'il ne parte, elle l'intercepta.

- Chevalier. Quel est ton nom?

Elle le fixa de ses yeux bleu aussi froid que de la glace attendant des réponses à ses paroles.

(Le prof de GÉo est tellement ennuyant (La preuve, j'Ai baillé tout le long du cours) qu'il nous fait mourir.)

Je verrai a ce que Kevro arrive plus loin de votre fenêtre, madame.


Et elle déclara que si cela se reproduisait, Kevro ne pourrait plus passer la porte.

-C'est très clair.

Exactement comme on m'avait dit, elle avant tout le reste.

Et puis, quand je m'apprêtai a partir, elle me demanda mon nom.

-Kevin, 6ème Adjudant-Général de l'armée de Sa majesté. répondais-je sur un ton neutre, le regard toujours aussi froid.

(Ha! D'accord, je comprends. Mais C'est la vie =P Tu sais, pour faire des longs post, Tu n'as qu'à décrire ce que ton bonhomme pense de la situation, comment il réagit, ce qu'il pense des autres autour de lui (Pour l'instant, moi), comment il réagit face à leurs réactions, Ce qu'il voit tout autour de lui, Ect. ^^)

Un des nombreux rayons du soleil illumina le joli visage de la princesse avant de se faire cacher par les nuages nombreux en cette matinée légèrement froide, alors que la jeune femme écoutait l'homme au dragon parler. Les bras croisés contre sa poitrine, elle avait un regard hautain et observait l'homme qui lui promis de s'arranger pour garder la bête nommée Kevro, à ce que Sayu avait compris, loin de la fenêtre de la dame. Elle ne voulait pas seulement qu'il reste loin de sa fenêtre, elle voulait qu'il reste loin d'elle. Elle détestait être en présence de ses choses et elle le fit bien comprendre en le disant en voix haute. Elle n'accepterait aucunement d'entendre ne serait-ce que les ailes du dragon battre près d'elle. Elle soupira rapidement et un peu énervée en pensant à son affreux réveils. Elle était si confortable pourtant. L'homme lui dit aussi qu'il avait clairement compris tout ce qu'elle lui avait demander. Elle l'espérait.

Lorsque Sayu l'avait interrompu, lui demanda son nom, il se préparait à sortir. Elle apprit qu'il s'appelait Kevin, mais ce n'était pas vraiment important de le savoir, sauf si un événement du même genre ce produisait. Habituellement, elle se serait ficher de savoir son nom, mais le cas était différent et elle en avait besoin si quoi que ce soit arrive. Sayu était très renfermée dans son petit bonheur et la moindre affaire en devenant un événement avec elle. C'était l'une des raisons pourquoi ses domestiques ne voulait en aucun cas la frustrer. Elle apprit aussi que c'était l'adjudant-Général de l'armée de son père. En sachant ça, elle voyait qu'il avait déjà plus d'influence que de simple soldat. Pour le faire renvoyer, ça lui en prendrait beaucoup. Mais pour l'instant, mieux de vaut ne pas y penser puisque tout va pour le mieux. Tout est arranger.

En levant de nouveau les yeux vers Kevin, elle remarqua de nouveau ce regard froid. Ce regard l'agaça autant que la dernière fois, mais à l'instant, il n'y avait aucune rage dans ses yeux, pas comme plus tôt où elle aurait voulut le balancer en bas du balcon. Cette fois, elle était calme et en contrôle. Elle le regarda d'un regard froid, elle aussi, en se disant qu'il ne devait pas avoir plu à beaucoup de femme. Ce genre de regard ne vous donner pas le goût de faire connaissance, même qu'il éloigne le monde la plupart du temps. Ce n'était pas de ses affaires, mais elle ne pouvait s'empêcher d'y penser, aimant elle-même qu'on tombe amoureux d'elle. Même si elle pouvait avoir la même expression, la différence était qu'elle savait bien joué la comédie pour avoir ce qu'elle voulait. Elle tourna la tête de côté avec un regard qui s'était radoucit.

- Ne me regardez pas avec ce regard. J'ai l'impression que vous ne tenez aucunement compte des voeux de la princesse. Pourtant, je n'ai rien fait à votre dagron. Je veux juste qu'il me laisse tranquille, vous comprenez? S'était-elle exprimer d'une voix douce, réprimant un petit sanglot.

Une larme pointa au coin de son yeux et roula sur sa joue blanche pour atterrir sur le sol. Elle était toujours tourner de côté. Bien entendue, elle n'avait pas vraiment envie de pleurer puisqu'elle ne se sentait pas menacée, comme l'aurais surement été une jeune fille en pleurs. Elle avait confiance en son pouvoir d'influence. Elle essuya sa joue et fit un geste de la main vers la porte.

- Vous pouvez maintenant disposez.

Sayu se tourna ensuite vers le balcon et s'avança. Peu lui importait si l'homme était vraiment partit ou non. En arrivant près de la clotûre blanche délimitant le balcon, elle posa sa main sur la pierre froide et regarda vers le haut. Le soleil montait de plus en plus dans le ciel, indiquant que l'heure avançait. Elle devrait bientôt se rendre à la salle du trône voir son père pour lui parler. Ensuite, elle verrait pour le tournoi ou bien aller rendre visite à son chère cousin. Elle aimait bien voir le regard méprisant ou admiratif des gens lorsqu'il la voyait arriver. Elle se tourna vers la porte de sa chambre et se mit à réfléchir. Que ferait-elle?

Elle me dit d'arrêter de la regarder ainsi... Mais, elle veut quoi? Que je fasse les yeux doux? C'est contraire au code. Son atitude me fesait rire. Je répondit que j'avais bel et bien compris, puis, elle versa une larme, mon sourire s'effaça. Elle me dit de partir, et, me dit qu'il valait mieux que je parte, ce que je fis.